Programmation

Fritta Caro reprend les mouvements premiers de l’haltérophile, pour créer l’Altero(s)philie; un traité sur l’amour des autres.

Lancements montréalais de « Trop de réalité » et « Le Sauna-rin 150W ».

Venez prendre part aux réflexions des artistes suite à leur exploration dans la ville contemporaine vue à travers différentes théories et pratiques spatiales, politiques et sociales.

Les participant.e.s de cet atelier exploreront la ville contemporaine à travers différentes théories et pratiques spatiales, politiques et sociales.

Cette conférence-expérience est consacrée aux enjeux de la communication dans l’espace public. La discussion entre représentants des milieux universitaire, communautaire et artistique est adjointe d'une visite du centre d’artistes DARE-DARE.

Le cœur du projet "Phony Monuments" est un parcours audio-guidé au sud de Montréal qui suit un trajet composé de différentes étapes entre les quartiers St-Henri et Griffintown, le long du Canal Lachine.

karen elaine spencer propose de disséminer dans l’espace public des extraits de la Charte des droits et libertés du Québec, qu’elle a retranscrits sur de grands panneaux de bois.

Ce projet consiste en de petits livrets où sont relatées de brèves histoires percutantes que les gens m'ont racontées au fil des ans.

Les PETITES VITES de DARE-DARE consistent à une série de présentations-éclair au protocole strict : les orateurs disposent d’exactement 7 minutes et d’un support visuel de 5 images pour faire leur exposé.

Le projet aborde le canal de Lachine comme une entité, vue à travers les yeux et les actions du flâneur, un personnage créé par l'artiste Douglas Scholes.

Guillaume La Brie répare des éléments de mobilier urbain. Cette action se voit toutefois détournée par ses intentions artistiques, soucieuses d'anomalies.

Un projet qui s'étend sur un an. Je me rends compte que ce sera une tâche particulièrement difficile : Ne rien faire (paradoxe anticipé).

« Minorité invisible » se doit d’être écouté avec un bandeau sur les yeux. Le projet a comme sujet la dissémination et la poétisation du territoire sonore, la recherche de l’invisible.

Dix énoncés invitent les passants à mieux comprendre le quartier dans lequel se situe l’enseigne lumineuse. Les énoncés visent à rendre visible des éléments oubliés de la vie quotidienne du Quartier des spectacles : la chanteuse populaire, l’art autochtone, la démolition de logements, la fermeture d’une épicerie arabe...

À travers ma résidence de recherche au Centre DARE-DARE, j'ai cherché à comprendre quels furent réellement les enjeux artistiques, sociaux et politiques de l'« aventure révolutionnaire » de la première Place des Arts.

Les artistes Magali Babin et Sylvie Cotton poursuivent le projet fou et ambitieux de recueillir le prénom de chaque personne résidant aux Habitations Jeanne-Mance, afin de composer une trame sonore unique.