Programmation

Il s’agit d’un “forum ouvert” d’un après-midi qui vise à partager des pratiques et insuffler des collaborations entre nos façons de lutter et de pratiquer la ville.

Julie Faubert porte un regard critique sur les mots qui nous permettent (ou non) de penser.

Le projet, intitulé 47 jours, questionne le rôle de l’artiste et la censure existante au sein des pratiques en art actuel.

DARE-DARE présente une série de performances dans l’espace public afin de créer un dialogue avec la communauté.

➜ Veuillez noter que cet évènement n’a pu se déployer entièrement. L’équipe de la OFF-Biennale a été contrainte de mettre fin aux activités plus tôt que prévu, pour des raisons hors de notre contrôle. Certaines activités ont été reportées à la saison de programmation suivante.

Ce projet participatif a été instigué par la souffrance liée à la dissension et l’aliénation qui pénètrent toutes les sphères de la vie en cette fin de première décennie du XXIe siècle.

Série de conférences au square Cabot.

Ce projet de Giorgia Volpe est une intervention artistique qui prend la forme d’une œuvre participative monumentale.

Le troisième volet de Dis/location: projet d’articulation urbaine de DARE-DARE prend forme au square Cabot, au milieu d’un secteur densément peuplé.

En parallèle à l'événement Camping - Aux bons plaisirs fugaces présenté du 5 au 8 juin 2008 au parc sans nom, DARE-DARE propose au public la troisième partie d'une série de conférences portant sur les relations hybrides entre l’art et l’espace public

L’intervention vise à mettre en rapport l’extérieur du bâtiment avec les locaux de la Mission. Avec l’aide de cette dernière, et par l’utilisation de divers matériaux, l’intervention viendra transformer, voire envelopper, la façade extérieure du bâtiment, tout en proposant une nouvelle lecture de l’intérieur des locaux.

En parallèle à l'événement Peinture fraîche / Fresh Paint présenté au parc sans nom, DARE-DARE propose au public la seconde partie d'une série de conférences portant sur les relations hybrides entre l’art et l’espace public.

Trois objets mobiles, déposés au parc sans nom, pourront être emportés et installés n'importe où.

Le projet consiste à peindre les couvercles des puisards situés dans les quartiers entourant le parc sans nom où DARE-DARE a élu domicile en juillet 2006.

En conjonction avec la Fête des fleurs au parc sans nom, DARE-DARE propose au public la première partie d'une série de conférences portant sur les relations hybrides entre l’art et l’espace public.

Karen Trask s'est mise à la lecture d’À la recherche du temps perdu de Marcel Proust. En s'inspirant des conditions qui ont mené à la création de cette œuvre, Trask a décidé de réinterpréter et de construire, dans un hangar, le contexte, soit la chambre et le lit de Proust.