Programmation

L'artiste présente une première projection de Canterel, un film de performance qui s'ancre dans les paysages du quartier Sud-Ouest à Montréal à travers de courts tableaux qui dialoguent avec les espaces physiques et sociaux du secteur.

Cycle documentaire qui explore des hiérarchies injustes, des formes d'inégalité ou tout simplement comment les citoyen.ne.s vivent les effets négatifs d'une société injuste à travers le monde.

Le projet « Signes Communs/Znaki Wspólne » met en oeuvre la langue des signes, qui est souvent négligée lorsque l’on parle de diversité culturelle et des minorités.

Tout au long de l'automne et de l'hiver, l'artiste met en branle une triade d'interventions où : spontanéité citoyenne, désir de contribuer, transmission et apprentissage s'activent et se relancent.

L'ARCA, l'AAMI et DARE-DARE sont fiers de présenter une vidéo informative en sept parties intitulée Un centre d’artistes autogéré, c’est quoi ?

Michelle Lacombe et Lynda Gaudreau ont été en communication à distance, comprenant des échanges de références, de croquis et de documentation d'explorations, tirés à la fois de l'histoire de l'art occidental et de leurs pratiques respectives.

SARAH : Ça fait longtemps que j’ai envie d’essayer de faire un doc. ANNE : Moi aussi…! Wow, ok!

Le projet en Duologie de Nady Larchet et Stéphanie Nuckle prend la forme de trames sonores et d’interventions furtives dans l’espace public.

Venez prendre part aux réflexions des artistes suite à leur exploration dans la ville contemporaine vue à travers différentes théories et pratiques spatiales, politiques et sociales.

Lauzier se sert de la promenade pour créer un contexte qui favorise l’échange et incite l’artiste interviewé à parler de son travail différemment. C’est également un prétexte pour faire des ponts entre l’espace et la démarche artistique de l’artiste.

Le cinéaste Roberto Santaguida nous propose l’élaboration d’un projet cinématographique où il récupère des correspondances reçues au fil des ans par des amis, lorsqu’il vivait à Verdun il y a quelques années.

Pour ce projet, l’artiste utilise la technique de la solargraphie, un procédé photographique nécessitant des temps d’exposition de plusieurs mois.

Afin d’accroître et d’affiner son champ d’action, DARE-DARE innove cette année et greffe un volet radio ponctuel à sa programmation.

Blogueurs en captivité, les artistes invités, Adam Bergeron (Québec) et karen elaine spencer (Montréal), ont accepté de relever le défi de l’emprisonnement et de vivre l’aliénation pendant les trois jours de l’événement.

Le projet joue avec la syntaxe des balises de HTML, de CSS ou de chatspeak pour fabriquer des phrases codées qui portent sur l’éthique, les médias et le futur. Ses déclarations s'inséreront aléatoirement tout au long de l'année et servira à ponctuer la programmation annuelle de ce volet.

Noémi McComber s’intéresse aux monuments et aux emblèmes nationaux et réexamine leur place et leur pertinence face aux réalités géopolitiques et sociales d’aujourd’hui.